Dylan à "la maison de la poésie"...

 Le jeudi 21 à la "maison de la poésie"

Une lecture de François Bon qui raconte les textes de Dylan, le pourquoi, le comment...et l' interprétation de ses chansons qu'en fait Jacques Bonnaffé...économie de moyen (en tout cas ça en donne l'impression) et trés bonne soirée!!

....Des interprètations très expressives!! 

V.V 

 

Soirée "performance", 16 Mars.

"Rencontre avec musique"

Une réunion de 4 musiciens au parcour plutôt atypique: Vincent Ségal : violoncelle, Dominique Pifarély : Violon, Médéric Collignon : Cornet, Sylvain Kassap : Clarinettes; conduite par François Bon.

En fait une sorte d'atelier, les musiciens parlent entre autre de leur façon de faire et d'apréhender l'inprovisation, j'ai une petite vidéo qui en donne une bonne idée, que je mettrais bientôt....

Pifarély, Kassap:

Collignon, Ségal:

François Bon:

Quelques autres photos, Vincent Ségal était le mieux éclairé là d'ou j'étais........

Une question qui les plongent dans une grande reflexion!!!!

Et puis tout le monde se met à l'impro......

J'aime beaucoup celle là, des fois le flou est charmant....

V.V

15 mars: "soirée Led Zep" à Banlieues Bleues Jazz festival

François BON & Vincent SEGAL "Chiens noirs de seventies": Led Zeppelin

C'était vraiment super!

Aprés avoir raconté l'histoire de Led Zep en feuilletons sur France Culture, François Bon nous la raconte cette fois sur scène avec son ami Vincent Segal (le violoncelliste de "M") qui joue de façon épurée et boulversante des morceaux de Led Zeppelin....

François et son pote nous prouvent encore un fois qu'il ne faut pas de grands déploiements de moyens et d'effets pour faire un superbe spéctacle, juste du talent.....

 

En deuxième partie : l'Orchestre National de Jazz de Franck TORTILLER "Close to heaven-tribut to led Zeppelin"

C'était sympa, un rythme bien "pêchu", mais un peu trop compliqué pour du Led zep, à mon gout. Et puis comment ne pas être déçue par la batterie ? Même s'ils étaient 2, les batteurs tapaient trés fort peut être pour donner l'impréssion du jeu de "Brute" de Bonham, mais c'est oublier que Bonham n'était pas qu'une "brute" à la batterie, loin de là........ Ou alors est-ce le jeu des batteurs de Jazz qui est radicalement différent du jeu de Rock ? En tout cas, c'est cette "particularité/absence" qui m'a tout de suite sauté aux oreilles ce soir là..... Mais pour le deuxième rappel il n'y avait que 3 des musiciens (basse, xilophone, batterie) qui ont interprété "what is and what should never be" et c'était bien mieux.........

V.V